Près d’un quart des libellules d’Ile-de-France ont disparu ou sont directement menacées par l’homme, selon la première « liste rouge » consacrée à ces odonates.
Après les oiseaux et avant les papillons, cet état des lieux alerte les pouvoirs publics sur la situation médiocre des zones humides en région parisienne.
La suite de l’article sur le site de Metronews : cliquez ici