Lutter contre le trafic d’animaux sauvages, qui rapporte près de 15 milliards d’euros par an à des réseaux criminels, est plus compliqué avec le «grand supermarché» d’internet qui s’ajoute aux circuits traditionnels, ont indiqué des experts jeudi.
«Internet, c’est un grand supermarché ouvert sept jours sur sept», relève la directrice du Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) pour la France et l’Afrique francophone, Céline Sissler-Bienvenu, lors d’un séminaire organisé à Paris avec l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (OCLAESP).
La vente en ligne des espèces sauvages «est un marché émergent, pas encore bien maîtrisé», a-t-elle ajouté. On trouve notamment sur la Toile «des oiseaux et des reptiles pour alimenter la demande en nouveaux animaux de compagnie».
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