La démission de Nicolas Hulot le 28 août derniera en partie occulté les décisions prises la veille lors d’une réunion destinée à mettre en route une réforme de la chasse.
Le marché passé peut se résumer ainsi : en échange d’une baisse du prix du permis national de chasse de 400 à 200 euros, les chasseurs acceptent la “gestion adaptative” des espèces et actent le ralliement de l’ Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) à l’Agence française pour la biodiversité (AFB)afin de créer une véritable “police de la nature”. (…)
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