Les difficultés de la protection des espèces animales emblématiques de l’Afrique comme le rhinocéros ou l’éléphant inquiètent les professionnels du tourisme, qui redoutent qu’elles ne freinent le flot des visiteurs étrangers sur le continent.
« À l’évidence, elles ont un impact négatif« , a résumé cette semaine le patron de l’Association du tourisme africain (ATA), Naledi Khabo, à l’occasion d’un sommet du secteur réuni au Cap (sud-ouest) à l’initiative d’Airbnb.
« Qu’il s’agisse d’hommes ou d’animaux, voir des morts pareilles a forcément des conséquences » sur notre activité, a-t-elle ajouté. (…)
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