La consultation en vue d’autoriser des « prélèvements » sur trois espèces en février est prise d’assaut par les défenseurs des oiseaux migrateurs et le milieu cynégétique.
Emmanuel Macron l’avait assuré au président de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), Willy Schraen, en février 2018 : en 2019, les oies sauvages pourront être abattues jusqu’à fin février.
Nicolas Hulot ayant démissionné du ministère de la transition écologique, le gouvernement avait le champ libre pour tenir ses promesses.
Ce fut chose faite le 3 janvier avec l’ouverture d’une consultation publique visant à autoriser cette année le « prélèvement » de 5 000 oies cendrées jusqu’au 28 février, ainsi que des oies rieuses et des moissons jusqu’au 10 février.
L’arrêté correspondant (dont est exempte l’Alsace) devrait être pris dans les jours suivant la clôture de la consultation, prévue jeudi 24 janvier. (…)
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