« J’avais l’impression que les larmes sortaient directement de mon âme », souffle Domingas Ribeiro, le visage encore marqué par l’émotion quand elle pense aux flammes dévorant la végétation autour de son hôtel d’écotourisme dans le Pantanal brésilien.
En août, 90% des 905 hectares du Pantanal Lodge, qu’elle gère depuis l’an dernier ont été réduits en cendres en quelques jours.
« C’était le chaos. Même les poteaux électriques ont brûlé. Beaucoup d’arbres sont tombés, bloquant l’accès à l’hôtel », raconte Domingas, 46 ans, contemplant avec désolation son petit paradis perdu, au coeur de la plus grande zone humide de la planète, qui s’étend aussi au Paraguay et en Bolivie. (…)
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