C'est en 2009 que Marina Le Gall rentre à aux Beaux-Arts de Paris.
Elle y découvre la technique de la céramique qui libère sa pratique picturale grâce à l'émaillage.
Elle modèle les formes d'animaux qu'elle connait bien grâce aux longues heures passées à les observer, les photographier, les dessiner dans la nature.
Les relations de la faune au paysage l’intéressent plus particulièrement et de là découle une réflexion plus vaste sur le territoire.
Ainsi, elle développe une hiérarchie dans son bestiaire en mettant en avant les prédateurs et les groupes d'individus avec des meutes de loups par exemple ou des colonies d'oiseaux