Les éléphanteaux arrivent à se consoler de la perte de leur mère grâce à la vie en troupeau, selon une étude réalisée sur des groupes vivant en liberté au Kenya.
Une preuve de plus de l’extrême sociabilité des éléphants : les petits pachydermes orphelins arrivent à se consoler de la perte de leur mère grâce à la vie en troupeau, selon une étude réalisée sur des groupes vivant en liberté au Kenya.
Ce sont des hormones du stress présentes dans les excréments qui ont permis aux scientifiques d’enquêter sur les conséquences de la mort d’une éléphante chez son éléphanteau, avec lequel le lien est réputé puissant, même après le sevrage. (…)
La suite de l’article sur le site de Sciences et Avenir : cliquez ici