C’est une première : biologistes marins et responsables de parcs aquatiques ont participé ensemble à un atelier, ou workshop, sur la captivité.
L’objectif ? Discuter des enjeux qui gravitent autour des cétacés captifs pour améliorer leurs conditions de vie, et envisager l’après.
C’est un débat brûlant qui a animé la salle de conférence de Tarifa, en Espagne. Sciences et Avenir était sur place.
Qu’est-ce que veut dire le “bien-être” d’un animal captif ? Pourquoi légiférer différemment selon qu’une orque est née dans la nature, ou en captivité ? Faut-il continuer la reproduction en captivité sous prétexte que ces animaux ne connaissent pas la vie sauvage ? Peut-on les relâcher ?
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