L’université américaine du Maryland a rendu publics, mercredi 13 mai, les résultats de son enquête annuelle sur les mortalités d’abeilles. Les chiffres présentés donnent à voir une catastrophe inédite. Selon les données recueillies, les apiculteurs américains ont perdu en moyenne 42,1 % de leurs colonies entre avril 2014 et avril 2015.
Pour la première fois, les mortalités hivernales ont été inférieures aux mortalités intervenues au cours de la saison d’activité des ruches – le printemps et l’été –, une situation décrite comme « inédite et tout à fait exceptionnelle » par l’apidologue Dennis van Engelsdorp, maître de conférences en entomologie à l’université du Maryland et coauteur de l’enquête. (…)
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