Le trafic illégal d’ivoire en Afrique qui menace la survie des éléphants est très concentré géographiquement et contrôlé par quelques barons, ont déterminé des scientifiques avec des analyses ADN des défenses saisies.
«Ce qui nous a tous surpris c’est que ces données génétiques suggèrent que le nombre de barons contrôlant ce trafic est relativement petit car la plus grande partie se concentre dans un endroit», a expliqué dimanche Samuel Wasser, professeur de biologie à l’Université de Washington à la conférence annuelle de l’American Association for the Advancement of Science (AAAS), réunie ce week-end à Washington. (…)
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