Thierry Lebert

La grande plaine ne laisse pas beaucoup d’endroits au photographe pour se cacher et pouvoir ainsi espérer capter quelques instants de la vie sauvage, pourtant ce vaste territoire m’inspire et j’y passe de longues heures à observer la faune. L’approche du chevreuil fût pour moi un jeu de cache-cache interminable, en effet on l’aperçoit un jour broutant paisiblement dans une jachère entre deux bosquets, l’endroit idéal pour se camoufler, alors rempli d’espoir on se prépare et on se place le lendemain…En vain car nos amis se déplacent, sans cesse et ne sont pas là où on les attend.
J’ai fait cette image pendant la période de rut fin Juillet 2016, les brocards sont plus attentifs aux signaux de la femelle qu’au photographe. Il s’en est suivi deux accouplements successifs.
Thierry Lebert

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