CAP Loup : Non, les associations ne cautionnent pas les orientations de l’État dans le dossier loup

Pendant que le président du Groupe national loup raconte des bobards à la radio sur les indemnisations des éleveurs, la secrétaire d’État à la biodiversité prétend que « tout le […]

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Vérité sur la chasse en France 6/10 : on chasse tous les jours, même dans les parcs naturels !

Ce que l’on appelle l’« ouverture générale » est seulement celle de la chasse à tir (armes à feu et arcs) et au vol (fauconnerie). La chasse s’ouvre en 2 […]

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Vérité sur la chasse en France 5/10 : Faire souffrir des animaux, c’est légal à la chasse !

L’animal est reconnu comme être sensible, mais seulement s’il appartient à quelqu’un ! Le lobby chasse a fait en sorte que la loi ne le gêne en rien et s’est […]

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Le WWF applaudit la motion UICN pour la coopération à l'échelle du plateau des Guyanes

Matécho forest. French Guiana<br />© Roger Leguen / WWF

Parmi les nombreuses motions adoptées lors du récent congrès de l’UICN, la motion n°41 entérine le nécessaire renforcement de la coopération entre les aires protégées du plateau des Guyanes et du Nord Est de l’Amazonie.
 
Cette annonce du besoin d’échanges transfrontaliers prend un sens particulier dans le contexte du dernier Congrès Mondial de la Nature de l’UICN tenu à Hawaï (USA) du 1er au 10 septembre 2016, intitulé cette année « La planète à la croisée des chemins ».
 
Ce congrès apparaît comme le plus grand rassemblement d’experts et de décideurs en matière d’environnement, depuis l’Accord historique de Paris (COP21), et depuis l’annonce des Objectifs du Millénaire pour le Développement et l’après 2015. Les motions validées par le congrès mondial de l’UICN se révèlent être de précieuses orientations pour les futurs programmes de protection de l’environnement et de développement durable.
 
L’adoption de la motion n°41 portant sur les Guyanes est capitale. Elle pourra permettre le développement d’une dynamique large, d’orientations stratégiques et d’actions concrètes, pour assurer la préservation effective du massif forestier du plateau des Guyanes et des six territoires associés (Guyana, Suriname, Guyane française, Venezuela, Amapá brésilien, et Colombie), tout en assurant le développement socioéconomique et le bien-être des populations concernées.
 
Cette approche rejoint celle déjà proposée par le Président de la République du Guyana,  Brigadier David Granger, pendant le 4ème congrès international pour la biodiversité du plateau des Guyanes qui s’est déroulé à Georgetown (Guyana) du 8 au 11 août 2016 : « C’est le moment pour les gouvernements, les acteurs scientifiques, les organisations non gouvernementales et les communautés locales de forger des partenariats en faveur de la préservation de la biodiversité du plateau des Guyanes. Ils permettront aux Etats de valoriser le forts niveau d’endémisme, de diversité culturelle, et de bon état des écosystèmes pour une croissance inclusive et une sécurisation du futur ».
 
« La voie pour une stratégie plus intégrée permettant la préservation de la biodiversité et les écosystèmes uniques du plateau des Guyanes est maintenant officiellement tracée, et reconnue au plus haut niveau mondial par l’adoption de cette nouvelle motion lors du récent congrès mondial de l’UICN »,explique Pascal Canfin, directeur général du WWF France. 

Vérité sur la chasse en France 4/10 : Tuer des chats, des chiens et des animaux protégées, c’est possible avec le piégeage !

Aujourd’hui, dans nos campagnes et jusqu’à proximité des écoles, les piégeurs posent toute l’année des engins de mort capables de happer aveuglément des chats, des chiens et des animaux sauvages […]

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La Réunion : un défi éco-sportif pour préserver le patrimoine naturel de l'île

Le Pandathlon Réunion 2016 aura lieu le 11 septembre 2016<br />© PandathlonAprès la Haute Dumbéa en Nouvelle Calédonie le 12 juin et le Massif du Mont-Blanc à Saint-Gervais les 25 et 26 juin, c’est à la Réunion que l’édition 2016 du Pandathlon fera étape. Ce dimanche 11 septembre, cet événement éco-sportif se déroulera au cœur du Parc naturel de l’Eden et permettra de collecter des fonds pour contribuer à la préservation du patrimoine naturel de l’île.

Organisé en collaboration avec la Région Réunion, le Pandathlon sera cette année l’occasion de découvrir, à travers quatre circuits, un site exceptionnel. Le site de l’Eden abrite une population de lézard vert des hauts, espèce endémique protégée dont la population est en danger, et de nombreuses espèces d’arbres que les bois de Pommes, bois de Cabris ou de Perroquet, bois de Savons, bois de Piment.

Les fonds collectés permettront de soutenir l’association Nature Océan Indien et son plan d’actions pour la sauvegarde du gecko vert de Manapany. Espèce emblématique de La Réunion, ce reptile dépend étroitement de la qualité de son habitat qui n’a cessé de disparaître et de se dégrader depuis l’installation de l’Homme sur l’île. Il reste aujourd’hui seulement 3 000 à 5 000 individus, répartis dans des populations très fragmentées, localisées uniquement dans le sud, sur une fine bande littorale de 11 km de long.
 
« Cela fait déjà sept ans que le WWF France a imaginé le Pandathlon. Depuis, la participation de milliers de pandathlètes a permis de financer des projets locaux de conservation tout en démontrant qu’il est possible d’organiser un événement sportif avec un impact minimum sur l’environnement. Car c’est bien cela l’esprit du Pandathlon : se mobiliser, se dépasser en participant à un événement sportif et ludique dans le but d’intervenir là où la nature en besoin ! »
Pascal Canfin, directeur général du WWF France