J’ai retrouvé mon chat la patte coincée (et broyée..) dans un piège à mâchoires, je pensais que ce type de piège était interdit ?

Que le piège soit légal ou non, ceci ne devrait pas arriver. Malheureusement, des dizaines de témoignages similaires nous parviennent chaque année. Un règlement européen, entré en vigueur en 1995, […]

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Comité du Patrimoine mondial de l'Unesco : l'occasion de protéger les sites naturels les plus emblématiques du monde

Rivière Rufiji dans la réserve de Selous, Tanzanie<br />© Tom Pilston / Panos PicturesRéunis à Istanbul (du 11 au 20 juillet) pour le Comité du Patrimoine mondial de l’Unesco, les pays du monde entier ont l’occasion d’aller plus loin dans la protection des sites naturels et mixtes les plus emblématiques de notre planète.

Reconnus par l’Unesco pour leur valeur universelle exceptionnelle, ces sites constituent le plus haut niveau de protection de l’environnement. En sauvegardant de vastes aires d’habitat, ils contribuent également au développement économique et social et assurent ainsi aux communautés locales des moyens de subsistance pérennes.

Pourtant, comme le soulignait le WWF dans un rapport, près de la moitié de ces sites – 114 sur les 229 classés au Patrimoine mondial – sont menacés par des activités industrielles. Concessions pétrolière, minière ou gazière, surpêche, exploitation forestière illégale, surexploitation des ressources en eau, infrastructures de transport ou de tourisme : les menaces sont nombreuses.

Au cours de cette 40e session, le Comité du patrimoine mondial examinera à la fois les propositions d’inscription de 27 sites sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco ainsi que l’état de conservation de 108 sites déjà inscrits sur la Liste et des 48 sites figurant sur la Liste du patrimoine mondial en péril.

Parmi les sites classés au Patrimoine mondial et dont l’état de conservation nécessite une action urgente, le WWF a identifié :

  • Le Réseau de réserves du récif de la barrière du Belize : le WWF appelle le gouvernement du Belize à interdire tout forage pétrolier dans l’ensemble des eaux du Belize compte tenu de l’ampleur des risques liés à cette activité et de l’engagement du pays à développer les énergies renouvelables.
  • La Réserve de gibier de Selous en Tanzanie : le WWF appelle le gouvernement tanzanien à agir pour mettre un terme d’ici 2018 au braconnage industriel qui pourrait faire disparaitre les éléphants de la réserve d’ici 2022 et menace près de 150 000 personnes qui dépendent de ce site.
  • Les Forêts de Forêt Białowieża en Pologne : le WWF appelle le gouvernement polonais à revenir sur le plan de gestion de la forêt, l’une des dernières forêts primaires européennes, qui prévoit de tripler le volume de bois extrait et qui menace le lieu de vie du bison européen.
  • Le Caucase de l’Ouest en Russie : le WWF appelle le Comité du patrimoine mondial à reconnaître officiellement les menaces exercées par les projets d’infrastructures sur ce site.

« Nous avons la responsabilité collective de protéger ces lieux qui constituent le patrimoine commun des générations actuelles et futures et qui sont essentiels au bien-être de millions de personnes. Les pays qui se réunissent à Istanbul cette semaine, ont la possibilité d’assurer à ces sites et aux personnes qui en dépendent un avenir meilleur. »
Zach Abraham, directeur des campagnes internationales au WWF

 

Rapport de la FAO : 
la surpêche menace les océans et la sécurité alimentaire

La surpêche augmente de manière alarmante <br />© Brent Stirton / Getty ImagesLa surpêche augmente de manière alarmante : 31,4% des stocks de poissons dans le monde sont surexploités, 58,1% des stocks pleinement exploités et seulement 10,5% sous-exploités. C’est ce que révèle le rapport publié hier par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

« La lutte contre la surpêche n’a pas encore porté ses fruits.  Les pressions exercées par l’industrie de la pêche sur les océans constituent une menace pour la sécurité alimentaire des populations des pays en développement et également pour la santé des océans. Pour parvenir à une politique de pêche équitable et durable, un changement radical de la réglementation est nécessaire.» Isabelle Autissier, présidente du WWF France

Bien que les stocks de thons soient surexploités depuis des années, c’est la première fois que les prises mondiales augmentent à ce point pour atteindre 7,7 millions de tonnes par an, soit une augmentation de 15% en seulement quatre ans.  

« Les chiffres références de la FAO témoignent plus que jamais de l’urgence d’agir pour préserver à la fois une ressource alimentaire indispensable à plus de 3 milliards de personnes mais également des emplois et toute une économie. Des mesures doivent être prises sans attendre pour permettre une gestion durable des ressources, sur des stocks stratégiques comme le thon tropical notamment, afin d’inverser la tendance et assurer leur renouvellement. »
Joséphine Labat, chargé de projet pêche durable au WWF France

Le WWF s’inquiète également de la redistribution de ces ressources naturelles : sur 49 pays considérés comme « dépendant de la pêche », 46 sont des pays en voie de développement.

De plus, si l’on constate un effondrement croissant des stocks de poissons au niveau mondial, il concerne en particulier ces pays avec des populations qui dépendent de la pêche pour se nourrir et créer des revenus.

Dans ce cadre, les pays du Nord portent une responsabilité particulière puisque 60% du poisson commercialisé dans le monde provient des pays en développement.

 

Le WWF France et SAXOPRINT mobilisent le grand public sur la protection des océans !

 <br />© Brian J. Skerry / National Geographic Stock / WWFSAXOPRINT, l’imprimeur en ligne et initiateur du célèbre concours de publicité grande cause « Creative Awards by SAXOPRINT » réunira dès le 20 juillet prochain, les meilleures créations publicitaires de l’édition 2016 au sein de plusieurs expositions publiques itinérantes. Baptisé, le « Creative Awards Tour », ce road show itinérant a pour mission de sensibiliser le grand public à la cause des océans. La première exposition démarrera sur les grilles de l’Hôtel de Ville de Paris à l’occasion de Paris Plage du 20 Juillet au 20 août.

Le Creative Awards Tour organisé avec le WWF France sensibilisera le plus grand nombre à la protection des océans.

Le grand public pourra découvrir dès juillet prochain les 30 à 40 meilleures créations publicitaires sur le thème de la protection des océans, réceptionnées pour le WWF France.

La campagne gagnante est celle du « bateau balle », grand prix du jury 2016 signée Pierre Digonnet et Jean-Philippe Barray.

« Un chalutier peut en 2 à 3 semaines nettoyer l’intégralité d’unezone de pêche sur les océans, la surconsommation et la surpêche font donc énormément de mal et tuent notre écosystème marin à petit feu, d’où la notion de balle dans le 2ème niveau de lecture de notre campagne. Nous avons faire réfléchir le plus grand nombre l’adoption d’une consommation alimentaire responsable en invitant le consommateur à s’intéresser à ce qu’il y a dans son assiette. En se préoccupant de la façon dont les poissons sont pêchés nous lutterons tous à notre manière pour la protection des océans » nous confient Pierre Digonnet et Jean-Philippe Barray.
 

Agenda du « Creative Awards Tour » :

Paris Plage

  • Exposition sur les grilles de l’Hôtel de Ville
  • 20 juillet au 20 août 2016

Viscom Paris

  • Exposition sur le salon professionnel de la communication visuelle et de l’industrie graphique
  • 6 septembre au 8 septembre 2016

Grand Pavois de la Rochelle

  • Exposition sur le salon nautique international
  • 28 septembre au 3 octobre 2016

E art sup Paris

  • exposition au sein du siège de l’école dès novembre 2016

Sup de pub Paris

  • exposition au sein du siège de l’école dès novembre 2016

Au travers de ces expositions publiques dont le premier opus commence sur Paris Plage, SAXOPRINT et le WWF France invitent le grand public à découvrir les meilleures créations de cette 2ème édition des « Creative Awards by SAXOPRINT » et le convient à s’impliquer dans la protection des océans en changeant ses habitudes de consommation et en respectant la protection de notre patrimoine maritime.

Bonne nouvelle : désormais c’est la brucellose que l’on va éradiquer, pas les bouquetins !

Révoltés par l’arrêté préfectoral qui avait ordonné l’abattage de tous les bouquetins du Bargy âgés de 5 ans et plus, l’ASPAS, One Voice et des accompagnateurs en montagne avaient saisi […]

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Les pays qui exploitent le charbon nuisent à la santé de leurs voisins

Les 30 centrales en Europe avec le plus gros impacts sur la santé humaine<br />© WWFParce que la pollution atmosphérique liée au charbon et ses impacts sur la santé ne s’arrêtent pas aux frontières des pays qui l’exploitent, il est impératif que l’ensemble des pays de l’Union européenne renoncent à cette énergie polluante. C’est ce que confirme le rapport réalisé par le WWF, l’Alliance pour la santé et environnement (HEAL), le Réseau action climat Europe (CAN Europe) et Sandbag.
 
Pour la première fois, ce rapport étudie le déplacement des poussières de charbon émanant des centrales européennes (257 centrales sur 280 – Royaume-Uni inclus) et l’impact sur la santé de la pollution atmosphérique qu’elles entrainent. En 2013, leurs émissions étaient responsables de plus de 22 900 décès prématurés et de dizaines de milliers de problèmes de santé allant des maladies cardiaques aux bronchites. Au total, pour la même année, les coûts sanitaires se sont élevés à plus de 62,3 milliards d’euros.
 
Les pays de l’Union européenne dont les centrales à charbon ont le plus de répercussions néfastes à l’étranger sont la Pologne (4 690 décès prématurés au-delà de ses frontières), l’Allemagne (2 490), la Roumanie (1 660), la Bulgarie (1 390) et le Royaume-Uni (1 350).
 
Les pays les plus impactés par la pollution issue des centrales présentes sur leur sol ou des centrales de leurs voisins européens sont l’Allemagne (3 630 décès prématurés), l’Italie (1 610), la France (1 380), la Grèce (1 050) et la Hongrie (700).
                             
 « Ce rapport dénonce les coûts sanitaires élevés qui vont de pair avec notre dépendance au charbon et réfute ainsi le mythe selon lequel le charbon est une source d’énergie bon marché. Aucun pays ne pourra résoudre seul le problème de la pollution atmosphérique liée à la production d’énergie. C’est pourquoi nous espérons que les pays de l’UE garderont ces informations en tête et agiront collectivement pour améliorer la qualité de l’air. »
Anne Stauffer, directeur adjoint de l’Alliance Santé et Environnement (HEAL)
 
« Le rapport démontre que la sortie du charbon doit être un objectif partagé à tous les pays de l’UE. Les ravages causés par le charbon sur le climat et sur la santé de tous les européens montrent bien que les pays de l’UE ont un intérêt à travailler ensemble pour sortir au plus vite de cette énergie polluante. »
Imke Lübbeke, responsable Climat et Energie du bureau des politiques européennes du WWF
 
« Près de 10 milliards d’euros d’argent public viennent encore, chaque année, financer l’industrie du charbon. Comment justifier que le contribuable soutienne cette industrie qui à la fois pollue l’environnement et contribue aux décès de plusieurs milliers d’Européens ? »
Pascal Canfin, directeur général du WWF France
 
« Le rapport révèle que chaque fermeture de centrale à charbon se traduit par des bénéfices considérables à la fois pour la santé et le climat et ce, bien au-delà des frontières nationales. Avec la signature de l’Accord de Paris, les chefs d’Etats de l’UE ont d’autant plus le devoir d’accroître leurs efforts afin de fermer toutes les centrales à charbon et de se tourner rapidement vers 100% d’énergies renouvelables. »
Wendel Trio, Directeur du Réseau action climat