Le 10 janvier, l’ASPAS a déposé un recours contre l’État français pour manquement à ses obligations de protection de la biodiversité au Tribunal Administratif de Paris, aux côtés de Notre Affaire à Tous, POLLINIS, Anper-tos et Biodiversité sous nos pieds.
Après la condamnation de l’État pour inaction climatique, il est aujourd’hui temps de le condamner à agir pour préserver la biodiversité ! Depuis des décennies, les ravages des pesticides sur la biodiversité et la santé sont documentés : les pesticides sont responsables d’une destruction du Vivant massive, sans précédent et aux conséquences en chaîne catastrophiques. Pollinisateurs, oiseaux et espèces protégées déclinent drastiquement. Les sols, les eaux et leur faune sont empoisonnés. Pourtant l’État ferme les yeux sur les dangers des pesticides pour maintenir les profits de l’industrie agrochimique et n’hésite pas à écarter les preuves compromettantes.
Alors que le besoin de coexistence entre les activités humaines et les espèces sauvages se fait de plus en plus pressant, l’ASPAS a décidé de rejoindre ce recours historique pour apporter son expertise en matière d’animaux sauvages.
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