Dans de nombreux parcs et enclos de chasse, les animaux sont élevés, importés, nourris.
Dans un récent rapport public, l’agrainage en parc est désigné comme une pratique « en contradiction avec la gestion des effectifs massifs de l’espèce sanglier » qui entérine l’artificialisation de ces espaces clos. Comment justifier l’existence de ces parcs et enclos de chasse, où les effectifs de sangliers sont volontairement abondants ?
Alors que les chasseurs évoquent constamment la nécessité et la difficulté de réguler cette espèce pour nous protéger des dégâts. C’est une aberration écologique !
Comme le revendique l’ASPAS, et comme le préconise le récent rapport public, faisons interdire la chasse en enclos.
Signez et diffusez au maximum le lien de la pétition : aspas-nature.org/chasse-enclos
Carnage derrière le grillage
Méconnue, la chasse d’animaux en captivité n’est pas anecdotique puisqu’elle concerne environ 1 300 parcs et enclos qui détiennent au total 50 000 à 100 000 animaux : cerfs, chevreuils, mouflons, daims, etc.
> Notre enquête en infiltration
> Le dépliant de sensibilisation (PDF) à diffuser massivement
Cet article Chasse en enclos (1/3) : l’agrainage des animaux, une aberration écologique est apparu en premier sur ASPAS : Association pour la Protection des Animaux Sauvages.