L’Etat français a jusqu’au 15 août, soit deux mois après l’injonction de la Commission Européenne, pour dire ce qu’il compte faire pour mettre un terme au braconnage du Bruant ortolan. La LPO demande que les preuves de la mise en oeuvre du plan d’action de l’Etat lui soient fournies dès cette année, et ce avant le démarrage d’une nouvelle saison de braconnage.