La France continue de tuer de plus en plus de loups au lieu d’organiser la cohabitation.
Les organisations de la société civile interpellent le président de la République sur les conditions et enjeux des débats
À la veille de l’ouverture des États Généraux de l’Alimentation, 39 organisations de la société civile saluent l’initiative d’Emmanuel Macron d’ouvrir le débat sur les questions de l’alimentation et de l’agriculture. Elles rappellent néanmoins que certaines priorités essentielles manquent pour l’instant à l’appel afin d’assurer le succès de cette initiative. Le président de la République doit les prendre en compte et les annoncer dès le lancement des États Généraux ce jeudi 20 juillet.
Engager une phase de négociations politiques
Tout d’abord, il faut clarifier la finalité de ces États Généraux. Au-delà des deux phases d’ateliers thématiques, il convient de prévoir et d’annoncer dès le lancement la tenue d’une phase 3 de négociations politiques. Cette phase permettra d’arbitrer sur les sujets transversaux et les dissensus issus des différents ateliers. Cette troisième phase doit également viser à donner une cohérence aux politiques publiques aussi bien entre politiques sectorielles qu’entre les différentes échelles (nationale – européenne – internationale).
Nous ne pouvons en effet pas réorienter la politique alimentaire en France sans prendre en compte ses impacts sur les autres pays (du sud en particulier) et sans une refondation de la Politique agricole commune.
Intégrer des enjeux cruciaux, absents des débats
De plus, certains sujets sont pour l’instant absents des ateliers. Il est urgent d’y intégrer :
- La santé environnementale. Le lien entre alimentation et santé n’est plus à démontrer. La question de la santé des travailleurs agricoles, des riverains et des consommateurs finaux ne doit plus être un sujet tabou.
- L’adaptation aux changements climatiques, phénomène majeur auquel fait déjà face la profession agricole, et qui devrait être un enjeu structurant de ces États Généraux s’il s’agit bien de préparer l’avenir.
- La fiscalité agricole et les droits sociaux des paysans. La politique fiscale oriente fortement le mode de développement des fermes. De plus, le droit au revenu paysan est une priorité.
- La préservation et la répartition équilibrée du foncier qui est pourtant une thématique incontournable, étant à la base du processus de production agricole et garantissant le renouvellement des générations.
- La préservation de l’environnement marin, de ses ressources halieutiques et le développement d’une pêche durable.
- La démocratie agricole et alimentaire. L’ouverture des décisions agricoles, alimentaires et territoriales aux citoyens et à la société civile organisée permettra de jeter les bases d’un modèle agricole réellement soutenu par la société.
Assurer la mobilisation citoyenne
Enfin, nos organisations rappellent que la consultation publique, organisée dans le cadre des États Généraux de l’Alimentation, doit permettre une participation large du public. Or, pour l’instant, ces consultations sont prévues en plein été et à la rentrée, un phasage qui rend difficile leur organisation et la participation du grand public. En particulier, les objectifs et le traitement de cette consultation, encore inconnus, devraient être précisés demain.
L’ensemble de ces éléments doit être pris en compte dans les derniers arbitrages concernant l’organisation des États Généraux de l’alimentation afin de garantir leur ambition, leur succès et la mobilisation des citoyens.
Organisations signataires
ActionAid France, Action contre la faim, Agir pour l’Environnement, Association française des diététiciens et des nutritionnistes, Amis de la Terre, ATTAC, BLOOM, CCFD Terre solidaire, CIWF France, Club Experts Nutrition et Alimentation, Coordination SUD, Crid, FADEAR – Réseau de l’agriculture paysanne, Fermes d’avenir, Filière paysanne, Fédération artisans du monde, Fédération des Associations pour le Développement de l’Emploi Agricole et Rural, Foodwatch France, FNAB, France Nature Environnement, Fondation pour la Nature et l’Homme, Générations Futures, Greenpeace France, Miramap, Mouvement de l’agriculture bio-dynamique, Plateforme de la Petite Pêche Artisanale Française, Plate-forme pour le commerce équitable, Oxfam France, Réseau Action climat, Réseau CIVAM, Réseau Cocagne, Réseau environnement santé, SOL alternatives agroécologiques et solidaires, Terre de Liens, Terre et Humanisme, TFT France, Union nationale de l’apiculture française, WECF France, WWF France
L’arrêté fixant le nombre maximal de loups pouvant être tués pour la saison 2017-2018 vient de paraître : il fixe ce nombre à 40, soit 4 de plus que celui de la saison précédente ! Il poursuit et aggrave ainsi la gestion calamiteuse de ce dossier engagée par le précédent gouvernement.
Les experts confirment les risques d’atteinte au bon état de conservation de cette espèce protégée ; les études les plus récentes confirment que les tirs indifférenciés sur des loups, partout en France y compris où il n’y a pas d’élevage extensif, ne permettent pas de diminuer les attaques sur les troupeaux en particulier lorsque ceux-ci ne font pas l’objet de mesures de protection adéquates.
Peu importe, plutôt que d’organiser enfin la cohabitation, le nouveau gouvernement poursuit, sous les pressions de lobbies agricoles, la politique à courte vue de son prédécesseur. Nos organisations dénoncent ce non choix :
- Qui outrepasse le taux maximum de 10 % de la population estimée présente, soit 360 individus, alors que l’expertise collective rendue, à la demande du précédent gouvernement, par le Muséum National d’Histoire Naturelle et l’ONCFS en début d’année établit que « les prélèvements légaux ne devraient pas, s’ils sont purement additionnels aux autres causes de mortalité, dépasser 10 % de l’effectif estimé pour que la population présente un bilan numérique au moins stable »
- Qui est fait alors que l’Etat n’a établi aucun bilan des destructions importantes des 3 années précédentes, que ce soit en matière d’efficacité sur la prévention des dommages ou d’impact sur la dynamique de cette espèce protégée
- Qui n’encadre toujours pas plus rigoureusement les autorisations de tir alors qu’il est établi que nombre d’attaques ont lieu sur des troupeaux non ou insuffisamment protégés
- Qui privilégie la destruction massive d’individus d’une espèce protégée, au-delà des possibilités dérogatoires, et ne l’équilibre d’aucune disposition de progression de la protection des troupeaux ou d’expérimentations de nature à améliorer les dispositifs de protection.
- Qui fait fi de l’approche scientifique et est pris sous des considérations politiciennes de court terme, qui ne permettent nullement de créer les conditions d’une co-existence pérenne.
Nos associations demandent que le prochain « Plan loup » 2018-2022 permette enfin au loup, espèce protégée aux niveaux international, européen et français, d’avoir des perspectives de présence pérenne dans notre pays. Et pour cela, il doit donner les moyens aux modes d’élevages qui s’étaient développés hors présence de prédateurs, de s’adapter à nouveau à cette réalité. Contre toute attente, alors que des changements radicaux avaient été promis, le nouveau gouvernement a loupé la première occasion qui lui été offerte de reprendre ce dossier par le bon bout. Nos organisations continueront à faire des propositions dans ce sens, convaincues que la co-existence entre les prédateurs et un pastoralisme durable est la seule voie d’avenir.
Les organisations de la société civile interpellent le président de la République sur les conditions et enjeux des débats
À la veille de l’ouverture des États Généraux de l’Alimentation, 39 organisations de la société civile saluent l’initiative d’Emmanuel Macron d’ouvrir le débat sur les questions de l’alimentation et de l’agriculture. Elles rappellent néanmoins que certaines priorités essentielles manquent pour l’instant à l’appel afin d’assurer le succès de cette initiative. Le président de la République doit les prendre en compte et les annoncer dès le lancement des États Généraux ce jeudi 20 juillet.
Engager une phase de négociations politiques
Tout d’abord, il faut clarifier la finalité de ces États Généraux. Au-delà des deux phases d’ateliers thématiques, il convient de prévoir et d’annoncer dès le lancement la tenue d’une phase 3 de négociations politiques. Cette phase permettra d’arbitrer sur les sujets transversaux et les dissensus issus des différents ateliers. Cette troisième phase doit également viser à donner une cohérence aux politiques publiques aussi bien entre politiques sectorielles qu’entre les différentes échelles (nationale – européenne – internationale).
Nous ne pouvons en effet pas réorienter la politique alimentaire en France sans prendre en compte ses impacts sur les autres pays (du sud en particulier) et sans une refondation de la Politique agricole commune.
Intégrer des enjeux cruciaux, absents des débats
De plus, certains sujets sont pour l’instant absents des ateliers. Il est urgent d’y intégrer :
- La santé environnementale. Le lien entre alimentation et santé n’est plus à démontrer. La question de la santé des travailleurs agricoles, des riverains et des consommateurs finaux ne doit plus être un sujet tabou.
- L’adaptation aux changements climatiques, phénomène majeur auquel fait déjà face la profession agricole, et qui devrait être un enjeu structurant de ces États Généraux s’il s’agit bien de préparer l’avenir.
- La fiscalité agricole et les droits sociaux des paysans. La politique fiscale oriente fortement le mode de développement des fermes. De plus, le droit au revenu paysan est une priorité.
- La préservation et la répartition équilibrée du foncier qui est pourtant une thématique incontournable, étant à la base du processus de production agricole et garantissant le renouvellement des générations.
- La préservation de l’environnement marin, de ses ressources halieutiques et le développement d’une pêche durable.
- La démocratie agricole et alimentaire. L’ouverture des décisions agricoles, alimentaires et territoriales aux citoyens et à la société civile organisée permettra de jeter les bases d’un modèle agricole réellement soutenu par la société.
Assurer la mobilisation citoyenne
Enfin, nos organisations rappellent que la consultation publique, organisée dans le cadre des États Généraux de l’Alimentation, doit permettre une participation large du public. Or, pour l’instant, ces consultations sont prévues en plein été et à la rentrée, un phasage qui rend difficile leur organisation et la participation du grand public. En particulier, les objectifs et le traitement de cette consultation, encore inconnus, devraient être précisés demain.
L’ensemble de ces éléments doit être pris en compte dans les derniers arbitrages concernant l’organisation des États Généraux de l’alimentation afin de garantir leur ambition, leur succès et la mobilisation des citoyens.
Organisations signataires
ActionAid France, Action contre la faim, Agir pour l’Environnement, Association française des diététiciens et des nutritionnistes, Amis de la Terre, ATTAC, BLOOM, CCFD Terre solidaire, CIWF France, Club Experts Nutrition et Alimentation, Coordination SUD, Crid, FADEAR – Réseau de l’agriculture paysanne, Fermes d’avenir, Filière paysanne, Fédération artisans du monde, Fédération des Associations pour le Développement de l’Emploi Agricole et Rural, Foodwatch France, FNAB, France Nature Environnement, Fondation pour la Nature et l’Homme, Générations Futures, Greenpeace France, Miramap, Mouvement de l’agriculture bio-dynamique, Plateforme de la Petite Pêche Artisanale Française, Plate-forme pour le commerce équitable, Oxfam France, Réseau Action climat, Réseau CIVAM, Réseau Cocagne, Réseau environnement santé, SOL alternatives agroécologiques et solidaires, Terre de Liens, Terre et Humanisme, TFT France, Union nationale de l’apiculture française, WECF France, WWF France
Les organisations de la société civile interpellent le président de la République sur les conditions et enjeux des débats
À la veille de l’ouverture des États Généraux de l’Alimentation, 39 organisations de la société civile saluent l’initiative d’Emmanuel Macron d’ouvrir le débat sur les questions de l’alimentation et de l’agriculture. Elles rappellent néanmoins que certaines priorités essentielles manquent pour l’instant à l’appel afin d’assurer le succès de cette initiative. Le président de la République doit les prendre en compte et les annoncer dès le lancement des États Généraux ce jeudi 20 juillet.
Engager une phase de négociations politiques
Tout d’abord, il faut clarifier la finalité de ces États Généraux. Au-delà des deux phases d’ateliers thématiques, il convient de prévoir et d’annoncer dès le lancement la tenue d’une phase 3 de négociations politiques. Cette phase permettra d’arbitrer sur les sujets transversaux et les dissensus issus des différents ateliers. Cette troisième phase doit également viser à donner une cohérence aux politiques publiques aussi bien entre politiques sectorielles qu’entre les différentes échelles (nationale – européenne – internationale).
Nous ne pouvons en effet pas réorienter la politique alimentaire en France sans prendre en compte ses impacts sur les autres pays (du sud en particulier) et sans une refondation de la Politique agricole commune.
Intégrer des enjeux cruciaux, absents des débats
De plus, certains sujets sont pour l’instant absents des ateliers. Il est urgent d’y intégrer :
- La santé environnementale. Le lien entre alimentation et santé n’est plus à démontrer. La question de la santé des travailleurs agricoles, des riverains et des consommateurs finaux ne doit plus être un sujet tabou.
- L’adaptation aux changements climatiques, phénomène majeur auquel fait déjà face la profession agricole, et qui devrait être un enjeu structurant de ces États Généraux s’il s’agit bien de préparer l’avenir.
- La fiscalité agricole et les droits sociaux des paysans. La politique fiscale oriente fortement le mode de développement des fermes. De plus, le droit au revenu paysan est une priorité.
- La préservation et la répartition équilibrée du foncier qui est pourtant une thématique incontournable, étant à la base du processus de production agricole et garantissant le renouvellement des générations.
- La préservation de l’environnement marin, de ses ressources halieutiques et le développement d’une pêche durable.
- La démocratie agricole et alimentaire. L’ouverture des décisions agricoles, alimentaires et territoriales aux citoyens et à la société civile organisée permettra de jeter les bases d’un modèle agricole réellement soutenu par la société.
Assurer la mobilisation citoyenne
Enfin, nos organisations rappellent que la consultation publique, organisée dans le cadre des États Généraux de l’Alimentation, doit permettre une participation large du public. Or, pour l’instant, ces consultations sont prévues en plein été et à la rentrée, un phasage qui rend difficile leur organisation et la participation du grand public. En particulier, les objectifs et le traitement de cette consultation, encore inconnus, devraient être précisés demain.
L’ensemble de ces éléments doit être pris en compte dans les derniers arbitrages concernant l’organisation des États Généraux de l’alimentation afin de garantir leur ambition, leur succès et la mobilisation des citoyens.
Organisations signataires
ActionAid France, Action contre la faim, Agir pour l’Environnement, Association française des diététiciens et des nutritionnistes, Amis de la Terre, ATTAC, BLOOM, CCFD Terre solidaire, CIWF France, Club Experts Nutrition et Alimentation, Coordination SUD, Crid, FADEAR – Réseau de l’agriculture paysanne, Fermes d’avenir, Filière paysanne, Fédération artisans du monde, Fédération des Associations pour le Développement de l’Emploi Agricole et Rural, Foodwatch France, FNAB, France Nature Environnement, Fondation pour la Nature et l’Homme, Générations Futures, Greenpeace France, Miramap, Mouvement de l’agriculture bio-dynamique, Plateforme de la Petite Pêche Artisanale Française, Plate-forme pour le commerce équitable, Oxfam France, Réseau Action climat, Réseau CIVAM, Réseau Cocagne, Réseau environnement santé, SOL alternatives agroécologiques et solidaires, Terre de Liens, Terre et Humanisme, TFT France, Union nationale de l’apiculture française, WECF France, WWF France
Classée « Vulnérable » sur la liste rouge mondiale, l’espèce, protégée au niveau européen, fait l’objet de mesures de conservation pour inverser la tendance. Explications.
Le prochain numéro de la revue nature de la LPO pour les 7-12 ans sera dans les boîtes aux lettres début septembre, abonnez-vous pour le recevoir !
Vous passez vos vacances au bord de la mer ? Et si vous profitiez de cette pause estivale pour redécouvrir le guide poisson du WWF ? Vous y puiserez idées de recettes, anecdotes originales et conseils avisés pour consommer plus durable !
Nos océans sont à bout de souffle
Pêche illégale, surpêche et pêche accidentelle mettent l’écosystème marin en péril et avec lui, tous ceux qui dépendent directement de ses ressources pour subsister.
A l’échelle du globe, la consommation de poisson a presque doublé en 50 ans pour atteindre les 19,2 kg par personne. 90% des stocks de poissons sont aujourd’hui surexploités ou exploités à leur maximum. Avec ses 35kg de produits de la mer par habitant chaque année, la France arrive au 5eme rang des plus gros consommateurs européens, derrière le Portugal (57 kg), la Lituanie (43 kg), l’Espagne (42kg) et la Finlande (36 kg).
Les consommateurs français ont ainsi une grande part de responsabilité mais faisant partie du problème, ils font également partie de la solution, pourvu qu’ils fassent les bons choix lorsqu’ils achètent du poisson.
Une photo publiée par WWF France (@wwffrance) le 3 Déc. 2016 à 1h50 PST
Faire évoluer les pratiques de pêche
Parce que les techniques de pêche non responsables détruisent en France plus d’emplois qu’elles n’en créent, le WWF France s’efforce de promouvoir une « pêche durable ».
Au-delà des pêcheurs, le WWF sensibilise les consommateurs pour les inciter à faire preuve de bon sens dans leurs actes d’achat (opter en priorité pour du poisson certifié MSC et ASC, consommer avec modération, varier les espèces et privilégier celles issues d’une pêche sélective).
Dans le cadre du projet Fish Forward, financé par la commission européenne, le WWF invite les pays du Nord à s’interroger sur les répercussions de leur consommation sur les pays du Sud car 50% des produits de la mer importés par l’Europe proviennent des pays en voie de développement.
Le nouveau conso guide du WWF
La concentration de nos achats vers les mêmes espèces contribue à la surexploitation des stocks.
Pourtant, l’océan est une ressource renouvelable capable de répondre aux besoins des générations futures si les pressions auxquelles il est exposé sont efficacement atténuées. Fort de ce constat, le WWF publie un nouveau conso guide pour aider les amateurs de poisson à diversifier leur consommation.
L’Océan dans votre Assiette révèle les histoires cachées de nos menus et amène le grand public vers des poissons moins courus grâce à des recettes revisitées par de grands chefs représentant plusieurs pays d’Europe. C’est François Pasteau qui a été choisi pour la France et qui nous fait redécouvrir avec ses confrères européens des espèces telles que le chinchard, le mulet noir, le poisson lapin ou encore le merlu.
Via un code couleur intuitif, vert pour les espèces à favoriser, jaune pour les espèces à consommer modérément et rouge pour les poissons à réellement éviter, le guide du WWF aide les consommateurs à exercer leur pouvoir, celui de limiter leur impact sur les écosystèmes marins via des choix de consommation responsable.
Les protecteurs ont prouvé l’illégitimité de cet acte, mais le mal est fait : la louve de Lus-la-Croix-Haute a été abattue. En effet, le Tribunal administratif de Grenoble vient de donner […]
Cet article Drôme : la louve de Lus-la-Croix-Haute a été tuée illégalement est apparu en premier sur ASPAS : Association pour la Protection des Animaux Sauvages.
Le comité 21 a publié fin juin un rapport, auquel la LPO a contribué, sur l’état d’appropriation des objectifs de développement durable (ODD).