Depuis 2015, la LPO, partenaire officiel de BirdLife en France, et ses homologues espagnole (SEO BirdLife) et grec (HOS), collaborent dans le cadre du programme européen Erasmus + SeaEnvTraining porté par l’Espagne.
Le 24 mai 2017 marque le lancement officiel d’un partenariat entre la Compagnie Fruitière et le WWF France, visant à intensifier la politique de développement durable de la Compagnie Fruitière et à sensibiliser les parties prenantes aux enjeux liés au gaspillage alimentaire en fin de chaîne.
Cette démarche s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des lignes directrices de la norme ISO 26000, cadre de référence de la politique de développement durable de la Compagnie Fruitière. Par ailleurs, un axe fort de cette coopération est le développement et la promotion de l’agriculture biologique. La Compagnie Fruitière deviendra, ainsi, le leader du Bio dans son secteur dans les prochaines années.
En s’engageant dans un partenariat de 3 ans avec la Compagnie Fruitière, le WWF France va accompagner cette dernière dans la mise en œuvre d’actions concrètes répondant à trois objectifs majeurs de sa politique de développement durable formalisée dès 2000 :
- amélioration continue des pratiques agricoles ;
- expérimentation de modes de production innovants et plus durables ;
- promotion d’une consommation plus responsable de la banane.
« En tant que premier producteur de bananes et d’ananas de la zone ACP, notamment de bananes « commerce équitable » et biologiques, et un des premiers metteurs en marché en Europe de fruits de cette origine, la Compagnie Fruitière investit sans relâche dans le développement d’une agriculture durable, en lien avec sa politique de responsabilité sociétale. Au travers du partenariat avec le WWF France, nous souhaitons intensifier notre démarche de progrès et faire valoir auprès des parties prenantes, les actions environnementales que nous mettons en œuvre. »
Jérôme Fabre, président de la Compagnie Fruitière
« Un état des lieux des pratiques de la Compagnie Fruitière ainsi qu’une visite sur site nous ont permis de constater la démarche de progrès initiée depuis plusieurs année au sein de l’entreprise. Ce partenariat va permettre d’accélérer les chantiers environnementaux, et notamment d’expérimenter de nouvelles pratiques de production en Afrique, bénéfiques pour la biodiversité locale et les populations. Nous allons également encourager le développement de l’agriculture biologique et sensibiliser tous les acteurs de la chaîne à la lutte contre le gaspillage alimentaire. En effet, il existe encore trop de pertes sur ces fruits à cause de mauvaises manipulations dans la filière et de mauvaises habitudes des consommateurs. »
Pascal Canfin, directeur général du WWF France
Le 24 mai 2017 marque le lancement officiel d’un partenariat entre la Compagnie Fruitière et le WWF France, visant à intensifier la politique de développement durable de la Compagnie Fruitière et à sensibiliser les parties prenantes aux enjeux liés au gaspillage alimentaire en fin de chaîne.
Cette démarche s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des lignes directrices de la norme ISO 26000, cadre de référence de la politique de développement durable de la Compagnie Fruitière. Par ailleurs, un axe fort de cette coopération est le développement et la promotion de l’agriculture biologique. La Compagnie Fruitière deviendra, ainsi, le leader du Bio dans son secteur dans les prochaines années.
En s’engageant dans un partenariat de 3 ans avec la Compagnie Fruitière, le WWF France va accompagner cette dernière dans la mise en œuvre d’actions concrètes répondant à trois objectifs majeurs de sa politique de développement durable formalisée dès 2000 :
- amélioration continue des pratiques agricoles ;
- expérimentation de modes de production innovants et plus durables ;
- promotion d’une consommation plus responsable de la banane.
« En tant que premier producteur de bananes et d’ananas de la zone ACP, notamment de bananes « commerce équitable » et biologiques, et un des premiers metteurs en marché en Europe de fruits de cette origine, la Compagnie Fruitière investit sans relâche dans le développement d’une agriculture durable, en lien avec sa politique de responsabilité sociétale. Au travers du partenariat avec le WWF France, nous souhaitons intensifier notre démarche de progrès et faire valoir auprès des parties prenantes, les actions environnementales que nous mettons en œuvre. »
Jérôme Fabre, président de la Compagnie Fruitière
« Un état des lieux des pratiques de la Compagnie Fruitière ainsi qu’une visite sur site nous ont permis de constater la démarche de progrès initiée depuis plusieurs année au sein de l’entreprise. Ce partenariat va permettre d’accélérer les chantiers environnementaux, et notamment d’expérimenter de nouvelles pratiques de production en Afrique, bénéfiques pour la biodiversité locale et les populations. Nous allons également encourager le développement de l’agriculture biologique et sensibiliser tous les acteurs de la chaîne à la lutte contre le gaspillage alimentaire. En effet, il existe encore trop de pertes sur ces fruits à cause de mauvaises manipulations dans la filière et de mauvaises habitudes des consommateurs. »
Pascal Canfin, directeur général du WWF France
En Inde, le déclin des vautours entre 1997 et 2007 a varié entre 95 et 99,9 % des populations en fonction des espèces. Principal responsable, le diclofénac, un anti-inflammatoire à usage vétérinaire, interdit depuis 2006 dans les pays d’Asie. Aujourd’hui, ce sont les vautours africains qui disparaissent, victimes des carcasses de grands mammifères empoisonnées par les braconniers, les éleveurs, le plomb des munitions ou encore victimes de la croyance populaire.
Un tigre de Sibérie, Panthera tigris altaica, vient d’être relâché dans la nature, au cœur du parc national de Bikin dans l’Extrême-Orient russe. Surnommé Vladik, en référence à la ville de Vladivostok, où il s’était fait repérer, errant, il retrouve aujourd’hui sa liberté après plusieurs mois de réhabilitation dans un centre dédié.
Une espèce en sursis
Le tigre de Sibérie, également appelé tigre de l’Amour, est le plus grand de tous les tigres. Son nom fait référence au fleuve Amour qui coule en Sibérie et en Chine. Sa fourrure change de couleur selon les saisons et s’éclaircit l’hiver pour mieux se fondre dans la neige. Particulièrement épaisse, elle lui permet de résister aux températures hivernales extrêmes des régions où il évolue.
Autrefois largement répandu, son habitat se résume aujourd’hui à la cordillère du Sikhote-Aline, au cœur des provinces de Primorie et de Khabarovsk dans l’Extrême-Orient russe, ainsi qu’à de petits territoires à la frontière chinoise et peut-être en Corée du Nord.
Et ce sont, une fois de plus, les activités humaines qui sont à l’origine de son déclin. Chassés pour leur fourrure et pour leurs os, prisés par la médecine chinoise, les félins sont également souvent abattus par des éleveurs en représailles aux attaques perpétrées sur leurs troupeaux. Quant à l’exploitation forestière pour le commerce du bois, elle entraîne une diminution de leurs proies, ce qui amène les tigres de Sibérie à abandonner leur territoire et à disparaître peu à peu…
Doubler le nombre de tigres d’ici 2022
En 100 ans, la population de tigres sauvages est passée de 100 000 à 3 900 individus, malgré d’importants efforts de conservation entrepris depuis les années 1970. En 2010, alors que le nombre de tigres était au plus bas (3 200 individus), les gouvernements des 13 pays qui abritent encore le félin – le Bangladesh, le Bhoutan, le Cambodge, l’Inde, l’Indonésie, le Laos, la Malaisie, le Myanmar, le Népal, La Russie, la Thaïlande et le Vietnam – ont décidé de mettre sur pied un plan d’action destiné à protéger le tigre et à doubler sa population à l’horizon 2022, la prochaine année chinoise du Tigre.
Cet ambitieux projet, dont le WWF est l’un des principaux acteurs, a pour nom Tx2. Il prévoit une approche stratégique à long terme, basée sur la collaboration transfrontalière.
Vladik retrouve sa liberté
En novembre 2016, à Vladivostok, dans l’Extrême-Orient russe, un promeneur plutôt inhabituel est aperçu dans les rues de la ville, mettant les passants en émoi. Il s’agit de Vladik, un jeune tigre de Sibérie, âgé de 2 ans environ et pesant 140 kg, signe d’une santé de fer.
Un groupe d’experts de l’office de la chasse du kraï du Primorié et du Centre pour la réhabilitation et la réintroduction des tigres et autres animaux rares (Centre PRNCO), soutenu par IFAW (Fonds international pour la protection des animaux), se rend aussitôt sur place pour capturer le jeune mâle. Ce dernier est placé en quarantaine, puis étroitement surveillé dans un grand enclos de réhabilitation.
Six mois plus tard, il est relâché au sein du parc national de Bikin (dans la région du Kraï du Primorié). Selon l’enquête menée cet hiver, il n’y a pas de tigres mâles dans la région. Vladik peut donc revendiquer le territoire. D’autant qu’il a conservé sa peur des humains, l’un des principaux critères pour évaluer la possibilité de libérer un tigre adulte dans la nature. Cette réintroduction s’inscrit dans un vaste programme de restauration du tigre de Sibérie. Elle n’est pas la première mais chaque vie compte si nous voulons sauver l’espèce en voie de disparition.
Un tigre de Sibérie, Panthera tigris altaica, vient d’être relâché dans la nature, au cœur du parc national de Bikin dans l’Extrême-Orient russe. Surnommé Vladik, en référence à la ville de Vladivostok, où il s’était fait repérer, errant, il retrouve aujourd’hui sa liberté après plusieurs mois de réhabilitation dans un centre dédié.
Une espèce en sursis
Le tigre de Sibérie, également appelé tigre de l’Amour, est le plus grand de tous les tigres. Son nom fait référence au fleuve Amour qui coule en Sibérie et en Chine. Sa fourrure change de couleur selon les saisons et s’éclaircit l’hiver pour mieux se fondre dans la neige. Particulièrement épaisse, elle lui permet de résister aux températures hivernales extrêmes des régions où il évolue.
Autrefois largement répandu, son habitat se résume aujourd’hui à la cordillère du Sikhote-Aline, au cœur des provinces de Primorie et de Khabarovsk dans l’Extrême-Orient russe, ainsi qu’à de petits territoires à la frontière chinoise et peut-être en Corée du Nord.
Et ce sont, une fois de plus, les activités humaines qui sont à l’origine de son déclin. Chassés pour leur fourrure et pour leurs os, prisés par la médecine chinoise, les félins sont également souvent abattus par des éleveurs en représailles aux attaques perpétrées sur leurs troupeaux. Quant à l’exploitation forestière pour le commerce du bois, elle entraîne une diminution de leurs proies, ce qui amène les tigres de Sibérie à abandonner leur territoire et à disparaître peu à peu…
Doubler le nombre de tigres d’ici 2022
En 100 ans, la population de tigres sauvages est passée de 100 000 à 3 900 individus, malgré d’importants efforts de conservation entrepris depuis les années 1970. En 2010, alors que le nombre de tigres était au plus bas (3 200 individus), les gouvernements des 13 pays qui abritent encore le félin – le Bangladesh, le Bhoutan, le Cambodge, l’Inde, l’Indonésie, le Laos, la Malaisie, le Myanmar, le Népal, La Russie, la Thaïlande et le Vietnam – ont décidé de mettre sur pied un plan d’action destiné à protéger le tigre et à doubler sa population à l’horizon 2022, la prochaine année chinoise du Tigre.
Cet ambitieux projet, dont le WWF est l’un des principaux acteurs, a pour nom Tx2. Il prévoit une approche stratégique à long terme, basée sur la collaboration transfrontalière.
Vladik retrouve sa liberté
En novembre 2016, à Vladivostok, dans l’Extrême-Orient russe, un promeneur plutôt inhabituel est aperçu dans les rues de la ville, mettant les passants en émoi. Il s’agit de Vladik, un jeune tigre de Sibérie, âgé de 2 ans environ et pesant 140 kg, signe d’une santé de fer.
Un groupe d’experts de l’office de la chasse du kraï du Primorié et du Centre pour la réhabilitation et la réintroduction des tigres et autres animaux rares (Centre PRNCO), soutenu par IFAW (Fonds international pour la protection des animaux), se rend aussitôt sur place pour capturer le jeune mâle. Ce dernier est placé en quarantaine, puis étroitement surveillé dans un grand enclos de réhabilitation.
Six mois plus tard, il est relâché au sein du parc national de Bikin (dans la région du Kraï du Primorié). Selon l’enquête menée cet hiver, il n’y a pas de tigres mâles dans la région. Vladik peut donc revendiquer le territoire. D’autant qu’il a conservé sa peur des humains, l’un des principaux critères pour évaluer la possibilité de libérer un tigre adulte dans la nature. Cette réintroduction s’inscrit dans un vaste programme de restauration du tigre de Sibérie. Elle n’est pas la première mais chaque vie compte si nous voulons sauver l’espèce en voie de disparition.
L’ASPAS, la LPO et l’ASFA dénoncent la chasse d’espèces menacées d’extinction : la Grive à pieds jaunes et le Pigeon à couronne blanche.
Dans le cadre du programme européen ERASMUS +, la LPO, partenaire officiel de BirdLife en France, et ses partenaires européens (SEO BirdLife pour l’Espagne, HOS pour la Grèce, LIPU pour l’Italie et BirdLife Malta pour Malte) collaborent pour améliorer les pratiques d’écotourisme, de tourisme de nature et de birdwatching. En effet, malgré des pratiques souvent plus respectueuses que celles du tourisme « classique », des améliorations sont encore possibles afin de réduire leurs effets sur l’environnement, notamment en ce qui concerne les petites îles du sud de l’Europe.
Les populations d’oiseaux présentes dans les paysages agricoles européens ont été réduites de plus de moitié depuis 1980 ! Ensemble, faisons revenir l’alouette dans les champs.
La Commission à l’Agriculture du Parlement européen vote contre l’interdiction d’utiliser des pesticides dans les surfaces d’intérêt écologique et les zones dédiées à la conservation de la biodiversité.