Le bulletin d’information #26 du programme Refuges LPO vient de paraître !
Le Tribunal administratif de Grenoble, dans son jugement joignant les recours n°1305251 et n°1305253, confirme l’illégalité des arrêtés du 27 septembre 2013 autorisant des tirs de prélèvements de loups sur les communes de La Motte Chalancon, Chalançon, Bellegarde en Diois, … Lire la suite →
© WWF France » border= »0″ align= »left » hspace= »4″ vspace= »2″ />La Conférence internationale sur le financement du développement, qui aura lieu à Addis-Abeba du 13 au 16 juillet prochains, sera cruciale pour démontrer les efforts pour passer d’une économie mondiale à un développement durable.
Faisant suite à une série de réunions majeures organisées en 2015, cette rencontre onusienne sur le financement du développement doit permettre aux pays participants de rompre le lien entre croissance économique et dégradation de l’environnement en engageant des fonds pour éradiquer la pauvreté et protéger la planète.
Selon Marco Lambertini, directeur international du WWF, « La création d’économies résilientes ne peut avoir lieu sans la protection des hommes et des écosystèmes à travers un changement de mentalités. Le nouveau financement pour le développement et le climat doit être construit en toute transparence. Les mécanismes de financement doivent privilégier les solutions bas carbone, résilientes au changement climatique et proposant un développement respectueux des droits humains et de l’environnement. »
Le récent rapport From billions to trillions: Transforming development finance réalisé par plusieurs banques de développement estime que le financement des Objectifs de développement durable (ODD) implique d’aller au-delà des 135 milliards de dollars d’aide publiquement au développement (2014) et de mobiliser plusieurs milliers de milliards de dollars par an toutes sources de financement confondues.
Les gouvernements doivent conduire ce changement en fournissant davantage de ressources publiques domestiques mais les banques multilatérales de développement, les banques nationales et le secteur privé doivent tous contribuer. Tous les investissements et flux financiers, y compris le financement du développement, doivent être transparents et promouvoir la durabilité.
« Le développement durable doit permettre de vivre mieux et dans la limite des ressources naturelles dont nous avons besoin pour survivre. Il ne peut y avoir de futur pérenne sur une planète pillée ! Afin de soutenir les Objectifs de développement durable et parvenir à un accord sur le climat à la fin de l’année, les pays doivent remplir leurs engagements, et notamment mobiliser 100 milliards de dollars par an pour le climat à partir de 2020 sans imputer les aides existantes. » souligne Marco Lambertini.
Par ailleurs, les gouvernements doivent mettre fin aux subventions aux énergies fossiles et plus généralement à toutes les subventions ayant un impact négatif sur l’environnement pour permettre la transition vers des investissements en faveur des énergies renouvelables, de l’agriculture durable et des pêcheries durables. Cette transition pourra avoir lieu grâce à des mécanismes minimisant les effets indésirables sur les communautés les plus pauvres et les plus vulnérables.
Selon Fred Kumah, directeur du bureau régional du WWF en Afrique, « Il ne faut pas oublier que cette conférence a lieu en Afrique, un continent qui souffre de manière disproportionnée des impacts de la mondialisation et du changement climatique. Le bien-être humain dépend de l’accès à l’eau potable, des terres agricoles, de la sécurité alimentaire et de l’accès à l’énergie. Les pays doivent s’engager à mettre les moyens nécessaires pour que ces besoins primaires soient satisfaits, pour améliorer les conditions de vie et limiter les menaces liées au changement climatique et à la dégradation de l’environnement. »
Les gouvernements se réuniront à nouveau en septembre pour se mettre d’accord sur une liste de 17 ODD essentiels pour parvenir à un réel développement durable.
Le ministère de l’Écologie va recruter une brigade de tueurs de loups en « emploi jeune ». L’ASPAS demande l’abandon de ce projet ahurissant, le départ de Ségolène Royal et l’embauche d’une vraie ministre de l’Écologie. « Cherche jeunes chasseurs pour intégrer une … Lire la suite →
© WWF France » border= »0″ align= »left » hspace= »4″ vspace= »2″ />La Conférence internationale sur le financement du développement, qui aura lieu à Addis-Abeba du 13 au 16 juillet prochains, sera cruciale pour démontrer les efforts pour passer d’une économie mondiale à un développement durable.
Faisant suite à une série de réunions majeures organisées en 2015, cette rencontre onusienne sur le financement du développement doit permettre aux pays participants de rompre le lien entre croissance économique et dégradation de l’environnement en engageant des fonds pour éradiquer la pauvreté et protéger la planète.
Selon Marco Lambertini, directeur international du WWF, « La création d’économies résilientes ne peut avoir lieu sans la protection des hommes et des écosystèmes à travers un changement de mentalités. Le nouveau financement pour le développement et le climat doit être construit en toute transparence. Les mécanismes de financement doivent privilégier les solutions bas carbone, résilientes au changement climatique et proposant un développement respectueux des droits humains et de l’environnement. »
Le récent rapport From billions to trillions: Transforming development finance réalisé par plusieurs banques de développement estime que le financement des Objectifs de développement durable (ODD) implique d’aller au-delà des 135 milliards de dollars d’aide publiquement au développement (2014) et de mobiliser plusieurs milliers de milliards de dollars par an toutes sources de financement confondues.
Les gouvernements doivent conduire ce changement en fournissant davantage de ressources publiques domestiques mais les banques multilatérales de développement, les banques nationales et le secteur privé doivent tous contribuer. Tous les investissements et flux financiers, y compris le financement du développement, doivent être transparents et promouvoir la durabilité.
« Le développement durable doit permettre de vivre mieux et dans la limite des ressources naturelles dont nous avons besoin pour survivre. Il ne peut y avoir de futur pérenne sur une planète pillée ! Afin de soutenir les Objectifs de développement durable et parvenir à un accord sur le climat à la fin de l’année, les pays doivent remplir leurs engagements, et notamment mobiliser 100 milliards de dollars par an pour le climat à partir de 2020 sans imputer les aides existantes. » souligne Marco Lambertini.
Par ailleurs, les gouvernements doivent mettre fin aux subventions aux énergies fossiles et plus généralement à toutes les subventions ayant un impact négatif sur l’environnement pour permettre la transition vers des investissements en faveur des énergies renouvelables, de l’agriculture durable et des pêcheries durables. Cette transition pourra avoir lieu grâce à des mécanismes minimisant les effets indésirables sur les communautés les plus pauvres et les plus vulnérables.
Selon Fred Kumah, directeur du bureau régional du WWF en Afrique, « Il ne faut pas oublier que cette conférence a lieu en Afrique, un continent qui souffre de manière disproportionnée des impacts de la mondialisation et du changement climatique. Le bien-être humain dépend de l’accès à l’eau potable, des terres agricoles, de la sécurité alimentaire et de l’accès à l’énergie. Les pays doivent s’engager à mettre les moyens nécessaires pour que ces besoins primaires soient satisfaits, pour améliorer les conditions de vie et limiter les menaces liées au changement climatique et à la dégradation de l’environnement. »
Les gouvernements se réuniront à nouveau en septembre pour se mettre d’accord sur une liste de 17 ODD essentiels pour parvenir à un réel développement durable.
Pour en savoir plus :
Retrouvez en pièce jointe la note de position du WWF Notre avenir durable – 2015.
Contacts presse :
Marielle Chaumien l +33 (0)1 55 25 84 61 l + 33 (0)6 15 39 24 95 l mchaumien@wwf.fr
Annabelle Ledoux l +33 (0)1 55 25 77 26 l +33 (0)6 14 56 37 39 l aledoux@wwf.fr
Soutenons-les dans leur étonnant et périlleux voyage.
Le WWF a lancé hier en France sa campagne innovante et unique de collecte basée sur des emojis, afin de soutenir ses actions de protection des espèces menacées d’extinction.
L’idée de cette campagne vient d’un constat : l’existence de 17 emojis représentant des espèces menacées. Le WWF cherche alors à traduire la popularité de cet alphabet emoji en dons à travers l’initiative #EndangeredEmoji. La campagne est gérée via le compte Twitter officiel @WWF et sur le site http://endangeredemoji.com/fr. Elle a été développée par l’agence publicitaire Wieden+Kennedy Londres et son partenaire technique Cohaesus.
Son principe est assez simple et se résume en 3 étapes :
- Le WWF tweete une image clé présentant 17 emojis menacés d’extinction. Pour signifier sa participation à la campagne de dons, chaque utilisateur doit tout d’abord retweeter cette image.
- Après cette étape d’inscription, chaque emoji en voie de disparition tweeté par les participants sera comptabilisé par WWF comme une promesse de don de 0,10€.
- A la fin de chaque mois, les utilisateurs recevront un résumé de leur utilisation d’emojis menacés d’extinction et l’évaluation du montant de leurs promesses de dons. Il leur appartient ensuite de choisir quel sera le montant réel de leur don.
Grâce à #EndangeredEmoji, sauvons les animaux de l’extinction. Retweetez pour vous inscrire et nous soutenir pic.twitter.com/ovbfdG7teR
— WWF (@WWF) 9 Juillet 2015
Depuis avril 2014 et l’intégration des émoticônes sur la plateforme, les emojis en voie de disparition ont été utilisés plus de 200 millions de fois sur Twitter et ce nombre ne fait que croître de jour en jour !
Ce nouvel alphabet emoji utilisé à l’échelle mondiale, se compose des 17 espèces menacées suivantes :
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Pour Jacques-Olivier Barthes, Directeur de la Communication au WWF France : « Quand il est question de collecte de fonds, il est essentiel de proposer un moyen simple de faire un don. En utilisant l’un des principaux réseau social au monde pour mettre en évidence les espèces en voie de disparition, nous espérons recueillir des fonds essentiels pour leur conservation et procéder à une sensibilisation à l’échelle mondiale ».
Le ministère de l’Écologie vient d’adopter deux textes fondamentaux en matière de faune sauvage : l’un encadre la destruction des « nuisibles » (renard, fouine, martre, belette, putois, corbeau freux, corneille noire, pie bavarde, étourneau sansonnet et geai des chênes), l’autre … Lire la suite →
Comment leur venir en aide.
La LPO se devait de disposer d’un rapport d’activité qui reflète au mieux la diversité et la richesse de ses actions, c’est aujourd’hui chose faite.