« Les ministres sont dans une course contre la montre puisqu'ils devront s'assurer qu'un accord solide sera adopté d'ici vendredi. La présidence française de la COP a maintenant la responsabilité de nous conduire jusqu'à la ligne d'arrivée. Même s'il clarifie des options, le projet d'accord de négociations reflète toujours la plupart des divergences qui persistent entre les pays. La présidence française va devoir faire preuve d'un grand talent et les gouvernements d'un esprit de coopération à toute épreuve pour concilier ces différences.
Dans ce sprint final, nous espérons que les ministres ne vont pas faire l'impasse sur l'ambition au profit de tractations hâtives et bien rester fidèles à la science du climat. »