Thierry Kolb créé des sculptures murales sur bois découpé.
Sa technique est personnelle, innovante, sensible et inédite.
Passionné, et talentueux, sa technique s’est affirmée, son trait est ambitieux, intime, ses découpes sont justes, indispensables et audacieuses.
Certaines de ses œuvres dont les sujets sont interprétés en négatif sont rétroéclairées.
Thierry Kob est né en Moselle.
La fibre artistique est une composante très présente au sein de la famille Kolb. Pierre Kolb, son père, architecte de profession, dessinait avec une précision saisissante et l’une de ses sœurs ainées, Odile Kolb a été une Peintre très talentueuse, reconnue en France et en Allemagne.
C’est en 2012, que Thierry laisse son talent s’exprimer en créant ses premières œuvres.
Sa technique en 5 étapes entièrement réalisées à la main, dans son atelier est tout à la fois originale et spectaculaire.
Les sculptures de Thierry Kolb sont présentes dans des collections privées en France, en Belgique, au Luxembourg, en Allemagne, au Congo et au Maroc.
« Je remplis l’espace avec du vide ! »
« Lorsqu’on me demande quelle est ma démarche, cette phrase me vient spontanément à l’esprit.
Ce vide, ces vides me laissent la liberté d’y faire naître l’émotion, la vie, le mouvement, la lumière, le mystère….
Mes découpes font apparaitre mon sujet et son essence, en positif sur mon support, ou en négatif selon mon inspiration, et c’est alors la lumière qui va le sublimer.
Depuis 12 ans, j’ai choisi de m’exprimer pleinement à travers la sculpture sur bois découpé et affleuré, technique particulière que j’ai développée et améliorée au fil du temps.
J’ai une affection particulière pour le monde animal, et en particulier la faune africaine, que j’ai le privilège d’observer dans son biotope depuis quelques années.
A travers la création de mes sculptures murale, j’essaie de transmettre la grâce et les émotions que je ressens à leur contact. J’aime leur animalité, leur élégance, leur sensibilité, leur puissance.
Leurs fragilités me touchent tout particulièrement.
Je regrette, comme tant d’autres, les impacts à la vitesse vertigineuse, du développement de notre civilisation à l’encontre de leurs territoires et de leur préservation. »