Signez une pétition

Dénoncez le massacre des dauphins à Taiji, Japon

À l'attention : de Son Altesse l'Empereur du Japon, de Monsieur le Premier Ministre du Japon

Son altesse l'Empereur, Monsieur le Premier Ministre,

Je vous fais part de mon désarroi concernant le massacre qui se passe régulièrement dans la baie de Taiji au Japon.
Comment peut-on rester indifférent face à une telle horreur ?

Le reportage "The Cove" que vous connaissez peut-être déjà, démontre parfaitement cette horreur sans nom ! Ces cris stridents, cette baie qui change peu à peu de couleur pour devenir rouge à cause du sang des dauphins massacrés.
Le seul but de ce massacre est de capturer les plus jeunes animaux afin de renflouer les parcs aquatiques et les delphinariums !

Il existe une immense cuve d'eau en béton, où seront séquestrés ceux qui ont été capturés. Dans cette cuve, on va les affamer afin qu'ils exécutent à la perfection les numéros de cirque qu'on leur inflige.

Une "vie" totalement à l'opposé de leur vie en milieu naturel, à tel point qu'ils se laissent mourir ou meurent d'infections et de maladies diverses.
Durant leur captivité, ballottés d'un parc à l'autre, subissant encore et encore les douloureuses séparations avec leurs semblables avec qui, et après de nombreuses difficultés (langages), ils auront réussi à se créer des liens d'affection. Capturés et rescapés restent à jamais marqués par la perte brutale et violente de leurs proches !

Ne laissons plus cela se produire, cela n'a que trop duré !

Dauphins, mais aussi orques et toutes autres bêtes sauvages, n'ont pas leur place en captivité ! Laissons-les vivre paisiblement dans leur milieu naturel : c'est leur place !

Un proverbe indien démontre très bien ce qui nous attend si nous persistons dans notre égoïsme : "Quand le dernier poisson sera pêché, la dernière rivière asséchée, le dernier arbre abattu, l'homme s'apercevra enfin que l'argent n'est pas comestible."

Laissons la chance aux générations futures de connaître toutes les beautés que nous offre la nature ! Pour que cela soit possible, il faut laisser la nature là où elle est et telle qu'elle est !

Veuillez agréer Monsieur, mes salutations les plus distinguées

Gwënaëlle LOZACHMEUR

EN LIEN AVEC LE SUJET

SITE WEB