65 000 éléphants ont été abattus par des braconniers au cours des cinq dernières années en Tanzanie.
Alors que la population d’éléphants s’effondre dans le pays, le gouvernement tanzanien vient de voter des lois de censure qui criminaliseront, entre autres, la publication de résultat d’études indépendantes sur le braconnage. Les activistes et défenseurs de l’environnement risquent même des peines de prison ferme.
Le braconnage ne peut pas être un secret d’état.
Mobilisons-nous auprès des autorités tanzaniennes pour obtenir l’abrogation de ces nouvelles lois injustifiables