Ingénieur de formation, complétée par un D.E.A. de traitement du signal et de l’image, professeure agrégée de mathématiques, j’ai enseigné en lycée, BTS et école d’ingénieur après un passage au Laboratoire d’Astronomie Spatiale de Marseille.
Je suis mariée et mon mari est aussi un grand amateur de la chasse photographique, en particulier des oiseaux.
Nous avons deux enfants et quatre petits-enfants. Avec une mère artiste peintre, mon éducation à l’art avait été précoce. Une retraite récente me permet de me consacrer pleinement à ma passion pour la photographie.
Je me suis toujours intéressée à la prise d’image photographique.
Celle-ci allie un support très technique (appareil photo et post-traitement) à une vision créative et artistique.
A l’origine, mon but était de réaliser des photos souvenirs (famille ou voyages). Le passage au numérique a été l’occasion de créer des livres photos.
Rapidement, les limites de mon travail me sont apparues. Passage obligé du compact au bridge, puis du bridge au réflex... Mais la mise en pratique de connaissances théoriques n’est pas si aisée et le résultat n’était pas à la hauteur de mes espérances !
Un matériel de qualité est une condition nécessaire (et encore...) mais pas suffisante pour réussir de bonnes photos.
Aussi, avec mon mari, nous nous sommes inscrits, il y a quelques années à un club photo membre de la Fédération Photographique de France (FPF).
Analyse de photos, critiques (constructives !) et confrontation avec d’autres sensibilités photographiques ont contribué à faire évoluer notre regard sur la prise de vue et le post traitement.
L’inscription aux concours de la FPF et aux concours internationaux est aussi un moyen de soumettre son travail à une évaluation extérieure.
On est souvent déçu, parfois extrêmement heureux, mais, succès ou échec, c’est une motivation supplémentaire, qui ajoute une dimension ludique à la création photographique. Ces participations m’ont permis d’affiner mon regard et m’ont conduit, en particulier pour la photographie nature à privilégier l’espace-temps de la prise de vue.
Etre membre d’un collectif de photographes comme la FPF est l’occasion d’échanges, de rencontres enrichissantes.
Je fais aussi partie d‘Image sans Frontière (ISF) qui réunit des photographes du monde entier.
Ces deux organisations m’ont permis de donner de la visibilité à mon travail en étant sélectionnée pour des expositions.
Partager ses images, sa vision du monde, se confronter au regard des autres, c’est extrêmement motivant pour le photographe amateur que je suis.