Ils ont vécu pendant 15 mois au coeur de la plus grande réserve naturelle française et du continent Antarctique, dans le but d’étudier oiseaux et mammifères marins de l’océan Austral.
Un livre "Aventures Australes" est né de cette expérience (voir par ailleurs) dont voici quelques images
Valentin Nivet-Mazerolles (photos de 1 à 7)
Depuis qu’il est enfant, Valentin a un rêve : devenir ornithologue et voyager. C’est en 2008 qu’il le réalise et part pour la première fois en direction du nord de l’Espagne pour y baguer ses premiers oiseaux. Diplômé d’un BTS en gestion et protection de la nature et d’une licence professionnelle en écologie, il se laisse guider par sa passion et en a fait sa profession. Il s’implique alors dans divers projets de conservation, depuis les steppes d’Asie centrale, en passant par la réserve naturelle nationale de la Haute Chaîne du Jura, jusqu’à l’archipel de Crozet (TAAF). Assoiffé de terrain, la photographie devient son moyen d’expression de prédilection et une opportunité de partager son regard sincère sur la vie sauvage.
Elie Gaget (photos de 8 à 12)
Passionné par les sciences et en particulier l’écologie, Élie a concilié sa curiosité naturaliste avec ses études. Ayant un intérêt certain pour l’observation de la nature et le décryptage de ses processus, il sort toujours avec ses jumelles et son carnet, dans un élan de questionnement scientifique constant. C’est après cinq années d’études terminées par un master à Montpellier, qu’il a eu la chance de partir aux Kerguelen. Au retour, il entame un doctorat en écologie. Élie étudie l’impact des changements globaux sur les communautés d’oiseaux d’eau, au sein de la Tour du Valat et du Muséum national d’Histoire naturelle à Paris.
Florian Orgeret (photos de 13 à 19)
Passionné par les sciences et en particulier l’écologie, Florian a concilié sa curiosité naturaliste avec ses études. Ayant un intérêt certain pour l’observation de la nature et le décryptage de ses processus, il sort toujours avec ses jumelles et son carnet, dans un élan de questionnement scientifique constant. C’est après cinq années d’études terminées par un master à Lyon, qu’il a eu la chance de partir aux Kerguelen. Au retour, il a entamé un doctorat en écologie. Florian s’intéresse à l’apprentissage de la plongée chez les juvéniles de manchots et d’éléphants de mer au sein du Centre d’études biologiques de Chizé.
Romain Bazire (photos de 20 à 26)
Romain effectua ses premières randonnées dans les bras de son grand-père, au cœur des forêts normandes et bretonnes. Son adoration pour le monde sauvage s’est amplifiée d’année en année jusqu’à ce qu’il entame des études en écologie en alternance avec plusieurs voyages et missions de terrain. Le pied à terre en Bretagne, Romain y cultive sa passion pour les oiseaux de mer et l’océan qui l’emmène jusque sur les îles Saint-Paul et Amsterdam. À la suite de cette aventure, il refait son sac pour une mission en Arctique puis pour une campagne océanographique en Méditerranée. Enfin, il réintègre l’université à Montpellier dans le cadre d’un master qui le guide toujours un peu plus vers la science et les oiseaux marins.
Pierre Blévin (photos de 27 à 33)
C’est à son père que ce Breton doit sa passion pour les oiseaux. Intéressé par les sciences de la vie depuis son plus jeune âge, c’est tout naturellement qu’il rejoindra quelques années plus tard les bancs de la fac, d’abord en licence de biologie puis en master d’écologie. Stages de recherche, missions sur le terrain et goût prononcé pour le voyage, il rassemble les ingrédients pour prétendre pouvoir partir en hivernage en Terre Adélie, Antarctique. Au retour, Pierre commence un doctorat au Centre d’études biologiques de Chizé pour y étudier les effets des polluants d’origine anthropique chez les oiseaux marins arctiques.