Christophe Prudhomme habite l'Aube. Il est issu d’une famille nombreuse - "pour ma plus grande joie, mes parents nous ont toujours laissés la liberté de faire ce que nous voulions faire". Il dit avoir eu la chance d'avoir des parents qui aimaient la nature sous toutes ses formes et de plus, "mon père était un passionné de photographies, de la prise de vue en passant par le labo N&b et couleur qu’il pratiquait avec passion en amateur".
Bonne école donc.
Il était passionné par les animaux d’Afrique a travers les ouvrages et l'émission de François de la Grange, mais ne pouvant se rendre sur place, "j’ai observé ce qui m’entourait et fus comblé des merveilles petites et grandes".
A 54 ans bientôt, il n'a pas fini de s'émerveiller. Et de nous émerveiller. En couleur comme en noir & blanc.
Et quand on lui demande : "vous avez un site", il répond : "Désolé, pas de site, pas de télé, pas de montre, pas de portable, la dèche quoi !"
Nous l'avons rencontré une première fois au festival de Montier en Der en novembre 2015; depuis, il a accepté de nous dire quelques mots.