Le portail de la biodiversité en Nouvelle-Calédonie
La Nouvelle-Calédonie, un laboratoire d’étude pour une biodiversité exceptionnelle
Il y a quelque 55 millions d’années, les forces tectoniques ont fait remonter le plancher océanique qui recouvre la Grande Terre, créant ainsi la chaîne centrale, qui s’étend sur toute la longueur de l’île principale. La forêt dense humide, dite sempervirente ou toujours verte, s’étire de façon discontinue du sud au nord, le long de cette dorsale qui sépare deux côtes, Ouest et Est, au climat et à la géographie contrastés. On la retrouve également sur sols calcaires dans les Iles Loyauté.
La côte Ouest, aujourd’hui recouverte de vastes plaines de savanes, est un espace de transition entre la forêt dense et la mangrove du littoral. Elle abrite également la forêt sèche qui n’occupe plus que 1% de sa superficie initiale. Les montagnes de la côte Est plongent directement dans le lagon, encaissant des vallées verdoyantes. Le maquis minier, qui recense 89% d’endémisme, désigne l’ensemble des formations végétales situées sur roches ultramafiques (péridotites et serpentinites, restes de la croûte océanique) qui n’appartiennent pas aux forêts denses.
La Nouvelle-Calédonie représente à elle seule près de 75% de la surface des récifs et lagons des territoires français.
Leur inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO en 2008 est une reconnaissance internationale de la richesse de ses lagons.
Grâce à l’extraordinaire diversité de sa faune et de sa flore terrestre, de sa richesse en nombre d’espèces qui peuplent ses récifs coralliens, la Nouvelle-Calédonie est reconnue aujourd’hui pour être un des hauts-lieux de la biodiversité à l’échelle mondiale. Cet héritage exceptionnel, lui impose un devoir important de gestion et de préservation. Ainsi, de très nombreuses structures publiques ou associatives, à vocation environnementale, contribuent par leurs actions, à améliorer la connaissance, à sensibiliser les populations et à préserver ce patrimoine naturel.
La Nouvelle-Calédonie représente à elle seule près de 75% de la surface des récifs et lagons des territoires français.
Leur inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO en 2008 est une reconnaissance internationale de la richesse de ses lagons.
Grâce à l’extraordinaire diversité de sa faune et de sa flore terrestre, de sa richesse en nombre d’espèces qui peuplent ses récifs coralliens, la Nouvelle-Calédonie est reconnue aujourd’hui pour être un des hauts-lieux de la biodiversité à l’échelle mondiale. Cet héritage exceptionnel, lui impose un devoir important de gestion et de préservation. Ainsi, de très nombreuses structures publiques ou associatives, à vocation environnementale, contribuent par leurs actions, à améliorer la connaissance, à sensibiliser les populations et à préserver ce patrimoine naturel.