Bien après minuit, sous un ciel sans étoiles, Martial Kiki parcourt inlassablement les chemins tortueux du parc national de Yankari, dans le nord-est du Nigeria, à l’arrière d’un pick-up, à la recherche des derniers lions du pays.
Ce chercheur béninois de 31 ans émet le cri des bébés buffles en détresse à l’aide d’un magnétophone relié à un mégaphone. En théorie, le cri de ces proies faciles attire les lions alléchés, sur lesquels M. Kiki braque ensuite sa lampe torche pour les compter et les recenser. (…)
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