Pour compenser le retrait des États-Unis, contributeur historique du financement de la lutte contre le changement climatique, l’UE va répartir plus largement les efforts entre les états signataires.
« Le retrait des Etats-Unis de l’accord de Paris est plus qu’un triste événement. C’est le signe de l’abdication envers l’action commune destinée à s’impliquer pour le destin de notre planète« , a lancé M. Juncker au sein de l’hémicycle à Strasbourg.
Il s’exprimait devant les eurodéputés pour la première fois depuis la décision américaine, mais aussi en présence de la présidente des îles Marshall, Hilda Heine, dont le pays est directement menacé par la montée des eaux. M. Juncker a réaffirmé, sous les applaudissements des eurodéputés, que l’UE ne « renégociera pas l’accord de Paris ». (…)
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