Une étude récente menée au Brésil nous apprend que certains cétacés peuvent avoir jusqu’à quatorze rates supplémentaires. De quoi se faire du souci si l’ont en croit les Grecs anciens qui considéraient que la rate était le siège de l’anxiété.
Néanmoins, selon les chercheurs qui ont conduit cette enquête, les rates surnuméraires seraient utiles aux cétacés pour garder un taux d’oxygène élevé dans le sang pendant une plongée profonde (…)
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