L’augmentation des températures est deux fois plus intense dans les régions arctiques que sur le reste du globe.
Adaptées aux climats froids, la faune et la flore du pôle Nord sont donc les premières concernées par la modification soudaine de leur habitat.
En premier lieu, la fonte de la banquise, dont la superficie pourrait atteindre moins de 520 000 km2 d’ici à 2050, contre 7,5 millions de kilomètres carrés dans les années 1980 . Ensuite, le verdissement de l’Arctique (…)
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