Créer une forêt « sous cloche » pour voir ce que serait la nature sans l’homme, étudier le stress et l’embonpoint des moineaux des villes ou l’hécatombe des tétards décimés par le glyphosate : le centre du CNRS de Chizé, dans les Deux-Sèvres, tient depuis 50 ans le rôle de « vigie » de la biodiversité.
L’étude en mars qui a alerté sur l’effondrement « vertigineux » des populations d’oiseaux dans les campagnes ? Elle provient du Centre d’Etudes Biologiques de Chizé (CEBC). Les travaux sur la désorientation des abeilles qui alimentèrent le débat parlementaire sur les néonicotinoïdes ? Aussi. (…)
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