En 1976, un article scientifique conclut – sans trop s’étendre sur les explications – que les Picidés, oiseaux de la famille des pics-verts, ne subissent en aucun cas des lésions cérébrales en creusant des troncs d’arbre à coups de bec.
Depuis cette publication – qui a été citée des centaines de fois – aucun autre scientifique ne s’était penché sur la question pour vérifier cette conclusion, jusqu’au 2 février 2018.
Des chercheurs de l’Université de Boston ont en effet publié ce jour-là une nouvelle étude sur le sujet dans la revue Plos One. Et leurs travaux n’aboutissent pas au même constat que ceux publiés en 1976.
En effet, eux affirment que le cerveau des Picidés contient une accumulation de protéines Tau. Or ce phénomène est également présent chez les humains souffrant de la maladie d’Alzheimer. (…)
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