La grande nacre de Méditerranée finira-t-elle au musée ? Victime d’un parasite identifié en 2016 au large de l’Espagne dont l’expansion fulgurante est favorisée par le réchauffement climatique, ce coquillage, le plus grand au monde après le bénitier tropical, se meurt.
En surface, rien ne laisse deviner l’hécatombe. Mais en profondeur, c’est un champ de coquilles vides qui s’amoncellent là où auparavant les spécimens de ce bivalve en forme de moule géante se dressaient, à la verticale comme des menhirs miniatures, à demi-enfoncés dans le sable, dans les herbiers de posidonie. (…)
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