« Ceux qui détruisent un écosystème doivent être condamnés », affirmait-elle à GEO l’an passé. Effarée par la situation catastrophique en Amazonie, Valérie Cabanes, spécialiste des droits de l’homme, peaufine une communication auprès de la Cour pénale internationale dans l’espoir que le président brésilien soit poursuivi pour crime contre l’humanité.
GEO : Comment travaillez-vous à l’élaboration de cette plainte ?
Valérie Cabanes : Avec une poignée de juristes français et des contacts sur le terrain au Brésil, nous réfléchissons depuis plusieurs mois à la meilleure façon de présenter les faits qui accablent Jair Bolsonaro. Depuis les récents événements – les incendies, les atteintes répétées aux droits des peuples autochtones… – nous avons décidé d’accélérer les choses. (…)
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