En dépit d’un objectif initial ambitieux avec l’annonce de la création d’un groupe de travail sur le bien-être animal en avril 2019, les mesures ministérielles promises se font toujours attendre, au grand désespoir des associations qui pointent de nombreuses situations d’urgence.
Depuis plus de sept mois, les annonces ministérielles en faveur de la faune sauvage captive ne cessent d’être repoussées. Au grand dam des associations qui avaient été consultées. L’objectif paraissait ambitieux : réunir ONG, experts et acteurs du secteur afin d’améliorer les conditions de vie des animaux détenus en France dans les parcs zoologiques, les delphinariums, les cirques et les élevages de visons (exploités pour leur fourrure).
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