Muhammad Rafiq était adolescent quand il a appris à attraper au Pakistan des oiseaux vivants.
Un talent qui a fait sa fortune, car la demande en faucons des pays du Golfe ne s’est jamais démentie, même celle pour les espèces menacées…
Un seul de ces rapaces peut se vendre plusieurs dizaines de milliers de dollars sur le marché noir. Grâce à cette manne, Muhammad Rafiq a pu faire rénover sa maison cette année.
« Chaque saison, des vendeurs de Karachi laissent leur contact et nous les rappelons si nous attrapons quelque chose », explique le « chasseur » de 32 ans. (…)
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