Le petit port de Cacouna a provisoirement retrouvé sa tranquillité, tout comme les bélugas qui viennent batifoler jusqu’à fin octobre près du village sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent. A 200 kilomètres en aval de Québec, la bourgade aux grandes villas, qui connut son heure de gloire à la fin du XIXe siècle comme station balnéaire de la haute bourgeoisie nord-américaine, est bien paisible sous les couleurs de l’été indien.
Ce bourg de 2 000 âmes est pourtant au centre d’une polémique opposant l’industrie des sables bitumineux aux défenseurs de l’environnement et à un mouvement citoyen qui prend de l’ampleur au Québec.
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Photo Vincent Leloup