L’Australie a évité vendredi que l’Unesco inscrive la Grande Barrière de corail sur sa liste des sites du Patrimoine mondial en péril, malgré l’inquiétude de la communauté scientifique sur la dégradation de cet écosystème unique.
Les membres du Comité, dont la Chine, la Russie ou l’Arabie saoudite, ont estimé que l’Australie devait se voir donner plus de temps pour faire le point sur ses efforts de conservation de la Grande Barrière, inscrite en 1981 au Patrimoine mondial. Ils ont également demandé à l’Unesco d’envoyer une mission d’évaluation sur le site, après les critiques de Canberra reprochant à l’organisation de se reposer sur des rapports existants pour faire ses recommandations.
L’agence des Nations unies avait publié en juin les préconisations de ses experts et organismes consultatifs suggérant que cet écosystème soit rangé sur la liste des sites « en péril » du fait de sa détérioration, pour beaucoup due à la récurrence des épisodes de blanchissement des coraux, conséquence des bouleversements climatiques. (…)
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