Visage masqué et pulvérisateur sur le dos, Exalto Mamani, cultivateur de feuilles de coca, asperge de pesticides ses champs dans la région de Nor Yungas en Bolivie. Dans le pays, l’extension de cette culture menace l’environnement, et en premier lieu les abeilles.
Des pesticides utilisés de manière massive dans les cultures
Exalto Mamani, dont les parcelles sont disséminées en terrasses sur des versants escarpés de la forêt tropicale d’altitude (1.500 mètres) reconnaît les dommages portés à la nature, mais dit ne pas avoir le choix. « Parmi les producteurs de coca, nous sommes nombreux a être conscients que nous sommes en train d’affecter l’environnement avec ces produits chimiques. Mais il ne nous reste pas d’alternative car la coquita nous fait vivre, nous et nos familles« , déclare-t-il à l’AFP (…)
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