Le 3 août 2014, en fin de journée, un camion plein à craquer de plusieurs centaines de chiens entassés dans des cages miteuses parcourt l’autoroute entre Pékin et Harbin, en Chine. Il est à destination de Jilin, au nord-est du pays, l’un des principaux marchés de viande de chien de Chine.
Une militante de la lutte contre le massacre des chiens pour leur viande a repéré le camion et retransmet en direct sur les réseaux sociaux son emplacement. Très vite, une trentaine de personnes suit le véhicule le long de l’autoroute et la police locale arrête le conducteur.
Si manger de la viande de chien n’est pas contraire à la loi, il est illégal de transporter des animaux sans certificat sanitaire. Or, le conducteur n’a en sa possession des documents que pour 110 chiens sur 400 (dont on découvrira par la suite qu’ils étaient falsifiés, rapporte le New York Times). (…)
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