SANS ELLE, LA RÉUNION PLÉNIÈRE à l’Unesco de la Plate-forme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), qui se déroule depuis le 26 avril 2019 à Paris, n’aurait sans doute pas eu lieu.
Car si ce sommet émane bien de la communauté des biologistes et des écologues, l’instance qui le pilote doit beaucoup à l’opiniâtreté d’Anne Larigauderie qui se bat depuis des décennies pour un seul objectif : tenter de sauver coûte que coûte la biodiversité de la planète. Un combat de haute lutte. (…)
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