Protéger la biodiversité en péril exige de ne pas se tromper de combat. C’est le message délivré par un article de commentaire publié, mercredi 10 août, dans la revue Nature, sous le titre choc « Les ravages des fusils, des filets et des bulldozers ». Ce message s’adresse, au premier chef, aux milliers de participants – responsables politiques, ONG, chercheurs, représentants des peuples autochtones, industriels – attendus au Congrès mondial de l’UICN, du 1er au 10 septembre, à Hawai.
Les auteurs de cette tribune, rattachés à l’université du Queensland (Australie), au siège de l’UICN (Suisse) et à celui de la Wildlife Conservation Society (Société pour la conservation de la vie sauvage, Etats-Unis), ont passé au crible les dangers qui pèsent sur près de 8 700 espèces animales et végétales classées comme menacées ou quasi menacées de disparition sur la liste rouge de l’UICN. Et ils ont identifié les plus redoutables, baptisés « grands tueurs »…
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