En matière de résistance face aux aléas environnementaux, la taille ne fait pas la force.
Au contraire : les grands poissons sont ceux qui pâtissent le plus de l’élévation des températures et des activités humaines, comme vient de le montrer une étude internationale menée à travers l’océan Indo-Pacifique.
Certains poissons perroquets ou les grands mérous, par exemple, verraient leurs populations chuter de deux tiers au-delà de seuils critiques d’impact climatique et anthropique.
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