Sur terre, le changement climatique perturbe faune et flore. Il en est de même dans l’océan, qui absorbe l’essentiel du réchauffement d’origine anthropique.
Et les migrations d’espèces qui s’y annoncent risquent de compliquer encore les relations entre pays pêcheurs et de déclencher de sérieux conflits.
Dans l’Union européenne, par exemple, la répartition des quotas de pêche pour chaque Etat est calculée en fonction des droits historiques, selon les tonnages de prises antérieures. (…)
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