Quand l’homme s’efface, la nature reprend ses droits… Une partie de la faune sauvage semble en tout cas prendre un peu plus d’aise en ces premiers jours de confinement. Pas de quoi crier victoire pour autant ?
- Dans les Calanques, à Venise, en Sardaigne, dans les grandes villes… Le confinement ferait les affaires d’une partie de la faune sauvage, profitant de cette baisse soudaine des activités humaines pour réinvestir des espaces qu’elle avait délaissés.
- Attention toutefois à ne pas surinterpréter le phénomène et y voir un ré-ensauvagement du monde. « S’ils semblent plus présents, c’est aussi qu’on les entend mieux et qu’on leur prête plus attention », glisse-t-on à la LPO.
- Ce confinement crée une situation inédite qui influe potentiellement sur les comportements de la faune sauvage. Reste à le mesurer. Pas simple quand on est confiné.
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