Selon une étude de l’Université de Californie, le coronavirus SARS-CoV-2 pourrait, en plus de son impact sur l’Homme, également être une menace pour certaines espèces animales.
La variation de la protéine ACE2, le récepteur principal du virus chez l’être humain, pourrait expliquer cette différence entre les espèces.
L’Homme n’est pas la seule espèce confrontée à la menace du SARS-CoV-2, le coronavirus à l’origine de la maladie Covid-19. C’est en tout cas ce que suggère une étude de l’Université de Californie (UC, Davis) publiée ce 21 août 2020 dans la revue PNAS. Pour arriver à une telle conclusion, une équipe internationale de scientifiques a utilisé l’analyse génomique pour comparer le principal récepteur cellulaire du virus chez l’être humain – l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2, ou ACE2 – avec ceux de 410 espèces de vertébrés, incluant des oiseaux, des amphibiens, des reptiles ou encore des mammifères. (…)
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