Les crimes contre les animaux y sont généralement impunis. Mais Facebook et Twitter offrent une nouvelle résonance à ces agressions contre lesquelles les protestations se font de plus en plus fortes.
Un toucan au bec arraché après avoir été maltraité par un groupe de jeunes a ému le Costa Rica, paradis écologique. Des agressions communes en Amérique latine où la souffrance animale ne constitue guère une priorité mais l’indignation gagne, véhiculée notamment par les réseaux sociaux. Les photographies du toucan Grecia ont fait le tour du web local début janvier 2015 et déclenché de nombreux appels à mieux sanctionner les violences envers les animaux, dans une région affichant des indices de criminalité record où l’impunité est la règle, même concernant les atteintes aux personnes.
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