Des grands albatros vont, ces prochaines semaines, aider à traquer dans les mers australes les bateaux suspects de pêche illégale, grâce à un système de balise porté par ces géants des océans, transmettant en quasi-simultané la localisation des navires qu’ils croisent.
C’est un programme scientifique pour préserver cette « famille d’oiseaux la plus menacée au monde », qui a débouché sur cet emploi indirect d’espion des mers, explique le Centre d’études biologiques de Chizé (CEBC) du CNRS, cornac du projet.
Entre novembre et mars, 150 premières balises vont être apposées sur des albatros des îles Crozet, Kerguelen et Amsterdam, dans les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), après des essais concluants début 2018.
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